Dans la nuit du 3 au 4 juin 1989 à Pékin, les chars tirent sur la foule. Suivant les sources, le nombre de mort·e·s va de quelques centaines à plusieurs milliers. Une répression implacable est ensuite organisée dans l’ensemble du pays. Ce massacre se situe dans le cadre de la première phase de transition au capitalisme. […] Lire la suite sur le site du Réseau syndical international de solidarité et de luttes