Extrait de l’éditorial publié le 21 décembre 2020 sur le site de PEPS (Pour une écologie populaire et sociale) :
« […] Disons tout de suite que nous apprécions Michèle Rubirola, son parcours, le type d’écologie qu’elle représente, son caractère chaleureux et fraternel. Sa démission nous semble le produit d’un système municipal arrivé à bout de souffle, conjugué à une culture locale partidaire pourrie. Trois raisons à ce crash politique dont Michèle a été la victime… » Lire la suite sur le site de PEPS