Georges Brassens : « une philosophie de vie teintée d’humanisme et de révolte »

Cette année, et particulièrement ce mois d’octobre, a marqué le centenaire de la naissance de Georges Brassens. Comme beaucoup d’entre vous je suppose, cet artiste m’a profondément marqué (et ce, dès mon enfance). Ne pas l’évoquer ici était donc impossible ; d’où ce petit article ! Mais quelle chanson choisir pour illustrer ma publication ? « Le gorille » ? (que je sifflotais à la fin des années 1970 lorsque que je collais à Valenciennes des affiches de la FA contre la peine de mort). « La non-demande en mariage » ? (au son de laquelle je me suis marié 😉 en 1996 à Lille grâce à la perspicacité d’une adjointe au maire, Véronique David, qui connaissait les convictions profondes de ma compagne, Véronique Marchand, et de moi-même concernant l’institution du mariage). De « La mauvaise réputation » à « Stances à un cambrioleur » en passant par « Le Blason »… la liste des chansons que j’adore est longue. Finalement, j’ai choisi « La complainte des filles de joie » car l’utilisation par certaines personnes (y-compris dans les milieux militants) de l’expression « fils de pute » pour insulter leurs ennemis m’a toujours énervé. Comme le chante Brassens : « Il s’en fallait de peu, mon cher, que cette putain ne fût ta mère » ! Continuer de lire Georges Brassens : « une philosophie de vie teintée d’humanisme et de révolte »

Le jour du 14 juillet, je reste dans mon lit douillet. La musique qui marche au pas […]

La Mauvaise Réputation est une chanson de Georges Brassens interdite d’antenne lors de sa sortie en 1952. Dans le deuxième couplet (« Le jour du 14 juillet, je reste dans mon lit douillet / La musique qui marche au pas, cela ne me regarde pas / Je ne fais pourtant de mal à personne en n’écoutant pas le clairon qui sonne »), le chanteur exprime clairement son … Continuer de lire Le jour du 14 juillet, je reste dans mon lit douillet. La musique qui marche au pas […]