Ce mois d’octobre 2021 a marqué le centenaire de la naissance de Georges Brassens. Comme beaucoup d’entre vous je suppose, cet artiste m’a profondément marqué (et ce, dès mon enfance). Ne pas l’évoquer ici était donc impossible. Mais quelle chanson choisir pour illustrer ma publication ? « Le gorille » ? (que je sifflotais à la fin des années 1970 lorsque que je collais à Valenciennes des affiches de la FA contre la peine de mort). « La non-demande en mariage » ? (au son de laquelle je me suis marié 😉 en 1996 à Lille grâce à la perspicacité d’une adjointe au maire, Véronique David, qui connaissait les convictions profondes de ma compagne, Véronique Marchand, et de moi-même concernant l’institution du mariage). De « La mauvaise réputation » à « Stances à un cambrioleur » en passant par « Le Blason », la liste des chansons que j’adore est longue. Finalement, j’ai choisi « La complainte des filles de joie » car l’utilisation par certaines personnes (y-compris dans les milieux militants) de l’expression « fils de pute » pour insulter leurs ennemis m’a toujours énervé. Comme le chante Brassens : « Il s’en fallait de peu, mon cher, que cette putain ne fût ta mère » !
Pour conclure ce bref hommage à Brassens, voici un extrait de la notice que le Maitron (dictionnaire biographique du mouvement ouvrier / mouvement social) lui consacre :