Du 17 au 20 novembre, l’Assemblée nationale est appelée à examiner la proposition de loi dite de « sécurité globale », soutenue par les députés de la majorité. Si une telle loi entrait en vigueur en l’état, elle constituerait une grave atteinte au droit à l’information, au respect de la vie privée, et à la liberté de réunion pacifique, trois conditions pourtant essentielles au droit à la liberté d’expression.
Arié Alimi, avocat de la Ligue des droits de l’Homme (LDH), nous explique la dangerosité de l’article 24 :