À l’aube de cette année nouvelle et à l’instar du groupe Goulamas’K (cf. chanson ci-dessous), je lève mon verre à toutes celles et tous ceux qui luttent pour un monde débarrassé des rapports d’exploitation et de domination.
Et comme on dit en occitan provençal (graphie classique) : A l’an que vèn ! Se siam pas mai, que sigem pas mens ! Soit, en français : À l’année prochaine ! Si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins !